Dimanche 20 juillet 2008 à 15:10

les gouttes d'eau qui glissent lentement sur le dos
les larmes qui perlent sur les joues
les frissons sur le corps
monter la haut
se sentir libre
juste une serviette pour cacher un corps abimé
et des nuages comme ceux qui rendent notre esprit moins léger
regarder devant
écouter la vie
celle dont on est détaché...
se sentir mal tout simplement...
embrumé et fatigué
replonger une fois de plus...

on est tous les trois mal, pourtant on se remonte le moral... on aid el autre sans s'aider soi meme; les autres nous aident, sans reussir a s'aider... on a besoin les un des autres, meme si on va mal... on se defends, on se protege, en s'oubliant...

Dimanche 6 juillet 2008 à 20:30

tu as eu ce sourire... tu es la seule a le savoir, c'est une douleur qui te hante, elle te rends malade... me pardonnera tu un jour... tu sais, j'esperai au plus profond de moi que tu avais oublié... tu n'es pas responsable... s'il te plait, ne t inquiete pas... je sais qu'il faudrait que je t'en parle... mais j'ai tellement honte si tu savais... pas vraiment de mes actes, plutot de t'en avoir parlé... j'ai peur maman, si tu savais... j'ai honte maman, si tu savais... j'ai vu tes yeux, l'expression aurait pu etre merveilleuse, si il n'y avait pas ce passé... tu sais, tes yeux disaient tellement de choses, on y voyait tellement d'amour, mais a la fois tellement de peur... comme tous les parents je crois... tous les parents ont peur du depart de leur enfant mais sont fier de l'amour qu'ils ont su leur apporter... mais, la... la j'y voyait autre chose... la peur que je me perde je crois... surtout la peur de pas etre presente si ca se reproduisait... j'aurai beau te dire des millions de fois que je vais mieux, que tout va bien, que je m en suis finalement sortie, je sais que cette epée au fond de l'ame tu l'a a vie... pardon de t'avoir demandé de garder le secret, mais je veux pas passer pour l'incapable depressive de la famille... c est bete a dire, c est sans doute ma fierté, mais je veux pas... je sais pas pourquoi je me suis laissée allée... pardon... mais tu sais, maintenant j'en parle... je sais que si j'en parle, si j'en rigole, c est que je l'accepte et que j'en suis sortie... je t'assure, crois moi pour une fois... ai confiance en moi... je sais pas ce que je veux, je te l'avoue, vous m'avez mis le doute, mais une chose est sure... je vais bien!
hier, j etais entouré d'eux, mais je me sentais loin... tellement loin... c'est tes yeux, ton sourire, leur expression si particuliere, comme si seulement moi pouvait le comprendre, ils m'ont renvoyé dans le temps... a une epoque ou zyzany n'existait pas encore, a une epoque ou le monde etait fade, ou la vie n'avait pas beaucoup de sens... a un soir ou les etoiles m'abandonnaient, ou mes etoiles, mes amis etaient trop loin pour me sortir de la, ou le puit etait sans fond, ou les sourires etaient faux, ou les habits etaient noirs et sobres, ou les yeux etaient cernés, cette epoque la... et puis, au fur et a mesure, mes yeux ont repassé ce film de petite larme et ce sont arretés ce soir la: la ou tout a commencé, ou le calvaire a doucement pris fin, ou le fond a été atteint, ou la peur a pris toute la place, ou l'espoir a disparu completement pour mieux renaitre des mois plus tard... toujours la meme image, les memes sensations, j'ai revu ce que j'occultait volontairement de ma memoire, a la fois interieure et exterieure a la scene, j'ai revu... revu mes larmes qui coulaient, mes mains qui se sont arretees de bouger, ce qui est tombé petit a petit, le portable, mes mots etouffés, ces mots perdu, et puis, son appel, non decroché, plus en etat... et ton arrivée... tu est rentrée, tout doucement, et on a parlé... nan, ce n'est pas lui, il n'a été que l'élément declencheur, le comprenez vous? j'etais mal, j'avais mal... loin d'etre a ma place, je me sentais rejetée, mais maintenant je sais, c est moi qui suis partie... et c'est pour ca que je vous remercierai jamais assez d'etre resté, d'avoir patienté, d'avoir essayé... j'ai vu tout ca... et j'ai vu, ces images incessantes lorsque je ferme les yeux... maintenant je vais mieux, je vais bien... mais ya un vide: lui! depuis qu'il est parti, j'aurai tellement voulu qu'il voit comme je vais bien... qu'il voit que ses efforts n'ont pas été vains, que je peux toujours etre la pour lui... je lui dois tellement... c'est pas une declaration d'amour la, c'est juste ... je sais pas ce que c'est... et je revoit ses larmes, mes larmes, les larmes... non paq que j'aime les gens triste, mais ya uen telle sensibilité qui se degage de vous... mais je crois que qu'elle que soit vos attitudes, vous avez sans cesse cette sensibilité et cette tristesse qui vous suit... je voudrais tellement d un baiser vous faire tout disparaitre, mais j ai deja essayé, ca ne marche pas... pardonnez moi...
je crois que je me suis etalée... pardon... je sais pas trop pourquoi j ecris ca... je sais pas si je me sens prete ou pas... ca fait tellement longtemps que j'en reve...et d un autre coté ca me fait tellement peur... enfin bon, je crois que je suis un peu perdue... pardon d'etre indecise et de n'etre pas capable d'aller au bout de mes reves... je crois que j'ai trop peur de votre reaction, mais d'un autre coté, vous m'en croyez incapable, comme une passe qui va changer, mais pour moi je n ai jamais été aussi sure et decidée...
yavait un papillon dans ma chambre, il m a suivi dans toute la maison, mais il s est envolé lorsque j ai ouvert la fenetre de ma chambre... il tournait comme pour me dire, suis moi... "3e etoile a gauche et puis, tout droit jusqu au matin", pourquoi pas...

Bon anniversaire tite oiseau!!!! je taime! tu as 18 ans maintenant et meme le bac, fecilitation!

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